Dans le même esprit
JUNIP
José Gonzales cache bien son jeu: suédois, dissimulé en trio sous intitulé Junip, s'insérant dans votre intérieur par l'intermédiaire de votre écran plat et d'une publicité dans laquelle sa reprise de Heartbeats de The Knife accompagnait une cascade de sphères colorées dans les rues de San Francisco, il déploie une geste singulière, sophistiquée et contemplative entre albums solo et rares publications avec Junip. Plus que tout, il cisèle un style qui emprunte autant à la tradition folk occidentale qu'aux musiques traditionnelles venues d'Afrique. “J’écoute beaucoup de musiques africaines. J’aime cette musique parce qu’elle est méditative. Elle ne commence ni ne finit. Souvent, je peux improviser de la musique en l’écoutant. Je mets un disque, je prends ma guitare, je joue par dessus. (...) On n’a pas écouté seulement des disques de world. On a aussi écouté des morceaux d’indie-rock dansants, beaucoup de choses des Stone Roses.”
Junip aus Göteborg in Schweden schreibt wunderbare Songs zwischen Disco-Beat und synthetischen Handclaps. Die Lieder klingen oft wie Sommerhits für Melancholiker, wirken aber niemals glatt. Da knistert es gewaltig wie auf uralten Aufnahmen. So könnte sich akustischer Krautrock anhören
PETSELEH
Rejeton strasbourgeois d'une maman folk et d'un papa poésie, à fleur de peau, frissons musicaux et sensations timides d'une mélodie qui transperce les cœurs.
Une envolée vers les cieux cotonneux d’une musique simple et honnête.
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