Dans le même esprit
NICK WATERHOUSE
« Mon disque est le fruit d’influences très variées. Le film Tirez sur le pianiste (1960), de François Truffaut, qui est l’adaptation d’un roman policier [Down here, de David Goodis]. Raymond Chandler, est une autre de mes influences. Il s’agit de prendre une histoire simple et d’en faire quelque chose de très personnel. Je pense aussi aux livres de Ralph Ellison, T.S. Eliot, James Baldwin. C’est une combinaison du blues et de la poésie moderne. On retrouve aussi ma passion pour le jazz, le blues, le r’n’b. Des artistes comme Young Jesse, Leiber & Stoller et leurs chansons pour The Coasters, Johnny "Guitar" Watson, et le pianiste de Latin boogaloo Joe Bataan, m’ont aidé à trouver mon son. Si vous écoutez mon disque, vous aurez un petit aperçu de ce qu’il y a dans ma tête. C’est un manifeste. » Puisque manifeste il y a et qu’il est ici aussi précisément explicité, nous nous contenterons d’ajouter que Nick Waterhouse nous arrive précédé d’une fort flatteuse réputation d’homme de scène, renouant en direct le fil parfois décousu de nos amours collectives avec les musiques nées à Memphis.
Nick Waterhouse sieht aus wie Buddy Holly, und der Amerikaner liebt Rockabilly, den Rock’n’Roll der 1950er Jahre sowie den Soul der 60er. Sein Sound ist rau und hart, und wie damals üblich charmant eintönig. Das klingt sehr nach Retro, ist aber modern und passt ganz toll in unsere Zeit.
JON TOUBIN
En ouverture de soirée, Jon Toubin reprendra les platines là où Wolfman Jack les a laissées pour un set « maximum rock and soul » qui lui vaut les yeux de Chimène du tout Brooklyn lettré.