TOTALLY ENORMOUS EXTINCT DINOSAURS: Un Tyrannosaurus Rex pour l’ère électronique ? Voire... S’il file sur scène la métaphore foutraque jusqu’à porter le costume de dinosaure à ses heures, Orlando TEED (pour Totally Enormous Extinct Dinosaurs) nage avec ironie dans les eaux glam et fréquente avec distanciation la faune des pop stars (qui s’offrent parfois ses remixes à l’instar de Lady Gaga). Dans une écriture électronique de l’entre-deux qui le préserve de dommages collatéraux inhérents aux passages de météorites, TEED pose les gestes pop avec cette élégance propre à l’époque qui invente avec bonheur un dandysme multimédia et offre à ceux qui les dansent prétexte à recréer une gestuelle de l’abandon.




LYNCH THE ELEPHANT: Clip à l’esthétique « Platine 45 », rythme synth pop lorgnant vers le « where did your love go » de Soft Cell, Lynch The Elephant modifie génétiquement l’ADN des années dance-pop en l’adaptant aux exigences consommatrices de la génération MP3.




Totally Enormous Extinct Dinosaurs sind nicht eine Band von ausgestorbenen Dinos, sondern ein musikalisches Projekt von Orlando Higginbottom aus Oxford. Das ist Elektro-Pop zu bizarren Video-Clips und eine Bühnenshow in bunten Kostümen. Der Brite mag ein wenig ausgeflippt sein, seine Musik aber trifft den Zeitgeist.




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