Puisqu’on considère qu’il y a une littérature féminine, pourquoi ne pas admettre qu’il existe une scène du même genre en termes de pop ?
Parti de ce postulat il y a 12 ans, le festival itinérant et international Les Femmes S’en Mêlent est surtout devenu un label de qualité, qui présente chaque année une affiche dont on aime la cohérente diversité.
Pour l’étape Laitière de l’édition à venir, on trouvera ainsi :
- Glasser dont la chanteuse Cameron Mesirow est ce que l’on appelle “une figure” autant qu’une voix (certes extraordinaire). Provoquant les collaborations les plus excitantes (Van Rivers & The Subliminal Kids, Blonde Redhead, Fever Ray, le label True Panther Sound) et les louanges les plus flatteuses (The XX, Jònsi et Delorean), Glasser a pris une place toute particulière dans le paysage musical de l’époque.
- Tearist duo de Los Angeles qui réunit Yasmine Kittles – tout en performances sonores (boîte à échos) et vocales – et William qui déploie pour elle une orchestration cataloguée «Witch House», Lo-fi et bruitiste .



Was machen junge amerikanische Musikerinnen? Ein wenig Elektro, eine Prise Pop. Das Ganze sehr emotional mit einem Schuß Dark Wave. Wer heute Abend in den Club kommt, der kann live erleben, was die USA uns musikalisch so alles bieten.



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