Dans le même esprit
NADA SURF
"Dans la grande et belle tradition des notes de pochettes des wonderful sixties, inaugurons ici la rubrique « tout ce que vous n’avez pas songé à vouloir savoir sur Nada Surf... ". Daniel Lorca, le bassiste est espagnol, a vécu à Paris et fréquenté le lycée français de New York avec Matthew (chanteur guitariste). Ira le batteur, fut élève de l’école d’art qui a inspiré « fame » (oui, oui, le film / feuilleton auquel on doit de bien douloureuses heures sur la bande fm et la mode des jambières de grosse laine rose portées à même le collant bleu). Le même Ira a officié au sein des fuzztones mythique et garagissime combo new yorkais qui, dans les 80’s, préfigurait sans le savoir le revival rock’n’roll qui déferle actuellement sur nos platines et scènes. Daniel est capable de descendre en apnée jusqu’à 80 pieds au-dessous de la surface. Daniel, Ira et Matthew adoreraient inviter Echo & The Bunnymen, Buzzcoks, Ray Davies, Nina Simone, Yo la tengo et Devo à reprendre leurs chansons sur un « tribute to nada Surf ». Nada Surf annonce la sortie de son nouvel album You Know Who You Are pour le 4 mars 2016, cet album marque l’accueil d’un nouveau membre dans le groupe : Doug Gillard rejoint Matthew Caws , Daniel Lorca et Ira Elliot.
Die Indie-Rocker aus New York kommen wieder in den Saal und präsentieren ein neues Album. Die Band ist bekannt dafür, regelmäßig schöne Liedersammlungen zu veröffentlichen. Die Musikfreunde dürfen sich auf einen Abend voller Wachmacher, schrammeliger Gitarren und schiefer Akkorde freuen.
ARMAN MELIES
A travers ses pérégrinations personnelles comme ses collaborations avec Alain Bashung ou Hubert-Félix Thiéfaine, Arman Mélies funambule depuis dix ans sur un fil d’Ariane qui traverse les univers les plus variés de la chanson pop d’en France. La trajectoire est artistique, sans nul doute, entre inscription dans la tradition et constant défrichage, mais elle est également celle d’un homme se rencontrant au travers de gestes publics qui ne sauraient se soumettre à la seule loi des genres. Exprimées dans la langue qui nous baigne, les chansons d’Arman Mélies trouvent public en même temps qu’elles trouvent auteur.
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