Dans le même esprit
HYPHEN HYPHEN
Une bourrasque balayant les attendus, une joyeuse mise en espace de l’instant qui transforme le concert en moment d’expériences partagées et podotes les unes par les autres dans un jubilatoire déséquilibre.
Proscrits les gimmiks, hooks et autres modélisations pop so modernes et sans doute déjà obsolètes ; incontestée révélation 2016, confirmée par une magistrale tournée européenne, Hyphen Hyphen ne respire l’air du temps que pour y trouver matière à photosynthèse et faire proliférer un répertoire tout personnel. Energique et mélodique, il égrène en mode hi-energy un chapelet de hits taillés pour la vie moderne – celle d’aujourd’hui et celle de demain !
Die Band aus Nizza im Süden Frankreichs bringt in ihren Elektro-Pop gern Emotionen wie Liebe, Schmerz und Verzweiflung. Damit galten die Musiker anfangs in der Heimat als musikalische Entdeckung des Jahres. Der soulige, englischsprachige Gesang, gemischt mit ausdrucksstarken Klavierklängen, sanften Beats und schöner Gitarrenarbeit ist nicht neu, aber eindrucksvoll interpretiert.
ØLLEBIRDE
Entamant le projet Øllebirde en duo, Fabrice Ordioni et Jeremy White ont rencontré Margot Kurtis dans une jam à Camden Town, Londres. En sont notamment nées leurs reprises de « I Need My Girl » de The National, « Too Good At Goobyes » de San Smith ou « The Man Who Sold The World » de David Bowie.
Rêverie hybride de mélancolies croisées, passant par les doigts de fée de Tim Bran au moment de la production, la musique de Øllebirde vient signer l’année 2018 d’une pointe d’émotion rare, à l’écart des fracas.