Dans le même esprit
GWENDOLINE
Nouvel album « C’est à moi, ça », disponible depuis le 01 mars 2024.
Gwendoline, est un duo-antihéros de la scène indé rennaise. La musique de Gwendoline en a rien à foutre. Elle n’a pas de projet. Elle ne tente rien, ils le répètent à qui veut l’entendre, faut juste écouter. Chacun entendra ce qu’il veut dans « C’est à moi, ça », nouvel album des deux brestois signés chez Born Bad. D’aucuns voudraient qu’ils soient Joy Division, Noir Boy George, Bruit noir, Ventre de biche, les bérus. Voudraient que leur wave soit cold, shlag, dark...mais ce n’est pas leur problème. Les malentendus peuvent tuer dans ce métier, par pitié laissons ces deux-là tranquilles. Chanter la tise à ce point, c’est plus la haine de soi qui guide leurs pas, c’est culturel. C’est un acquis social, ils ont le droit de chier sur Rennes quand les costards en gyropode y ont piqué leurs bars préférés. C’est bien un truc d’inclus de trouver qu’ils sont déprimés. Ils n’y sont pour rien si on les aime, et ça les fait déjà chier. On les aime parce que leur colère est juste. On a plus le luxe de la nuance quand tout a le goût du beurre doux qui a mal tourné.
© Halory Goerger
Die Musik des Post-Punk-Duos Gwendoline aus der Bretagne geht voll in die Beine und regt positiv zum Tanzen vor der Bühne an. The Big Idea sind sechs junge französische Musiker, die sich von der Schule her kennen. Ihre Musik ist melodischer Rock in mannigfaltigen Facetten. Alles sehr modern und für die Jugend gemacht.
THE BIG IDEA
Nouvel album "Tales Of Crematie" disponible depuis le 01 février 2024 !
Le nouvel album de The Big Idea est un conte à l’imaginaire médiéval et fantastique, mais qui aurait toutefois pu prendre place dans notre époque moderne. Si les élégantes plages mélodiques et psychédéliques du combo n’ont pas disparu, le ton de l’album est nettement plus rock que ce que le groupe a jamais produit, et comme The Big Idea aime toujours faire dans la démesure (l’enregistrement d’un album sur un voilier en pleine transatlantique), le disque sortira comme un double album dans lequel on croisera à la fois trompettes, pianos, violons, influences tropicalistes, post-punk, et surtout beaucoup, beaucoup de fuzz. Comme un coffre à jouets dont on aurait volontairement jeté la clé, “Tales of Crematie” regorge de trésors d’arrangements enfouis, mais également d’une révolte violente contre les canons modernes d’une musique toujours trop normale.
© Soyouz